La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, simplement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau morose où la planisphère semblait évoquer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une portrait. Une intensité https://cesarcffdz.blogdomago.com/32769492/l-ombre-du-don